VOTRE PERSONNAGE :
Nom : Woods
Prénom : John C. ( Christensen ) ; John, tout simplement.
Age : 28 ans
Race : Humain ; John est le bourreau du Conseil.
Caractère : C’est un jeune homme farouche et mystérieux. En effet, ses humeurs changeantes font de lui une personne assez dure à cerner ; mais soyez-en sûr, il n’est jamais ce que l’on peut appeler « gentil ». Il possède un cœur de pierre, il est insensible à tout ce qui l’entoure. Incapable d’aimer ou d’apprécier qui que se soit, il est haïs mais en même temps respecté de tous. Tout ce qu’il aime c’est son métier, donc exécuté, torturé. Lorsqu’il n’est pas dans la salle de torture, il passe la plupart de son temps dans les bois, à chasser des animaux, à courir, à s’entretenir.
Il fait aussi office d’armurier pour le Conseil, donc il possède une très grande connaissance des armes, quel qu’elles soient. John participe à l’entrainement des hybrides, en leur enseignant le maniement des armes. Il aime les sentir dans ses mains, le poids léger du métal, des sensations qui lui parcourent le corps à chaque fois qu’il en utilise, c'est-à-dire quotidiennement. Il n’est pas un pion du conseil, il agit de sa propre initiative. S’il travaille avec eux, c’est parce qu’il peut pratiquer ce qu’il aime, sans passé son temps à chercher ses victimes. En effet, lui ne fait que recevoir les paquets, après il en fait ce qu’il désire… Si le sadisme devait prendre corps, se serait dans le sien.
Description physique : John possède des cheveux bruns en bataille, qui encadrent un visage dur. Son regard noir et ses épais sourcils sont synonymes de frissons ; un regard de psychopathe. Un nez plutôt fin surplombe une bouche à l’aspect attirant, cette dernière est encadrée d’un semblant de moustache, barbe ou bouc ( selon les préférences >_< ) . On peu aisément dire que John possède un corps musclé. De stature médiane, il aime s’habiller de façon simple. Néanmoins il évite de porter des vêtements clairs, pour ne pas qu’il soit tâchés par le sang. Il privilégie des jeans, et des t-shirts moulant, bien que personne ne puisse vraiment l’admirer dans ses sous-sols. Il porte continuellement des baskets ; cela lui évite de changer plusieurs fois de paires de chaussures dans la journée, suivant les activités qu’il se doit de pratiquer.
Histoire : Que dire sur la vie d’un déséquilibré mental ? Et bien de nombreuses choses…
John était un petit garçon formidable : il ne faisait pas de bêtises, était obéissant et travaillait bien à l’école. Ses parents ne se sont jamais plein de lui. Sa mère avait arrêté de travailler à sa naissance et bien que John grandisse, elle n’avait pas repris le travail, convaincu que l’éducation d’un enfant passait avant tout par l’amour que lui prodiguaient ses parents. John à du être le petit garçon, l’adolescent le plus choyé au monde. Il avait tout ce qu’il désirait ; comment voulez-vous refuser quoique se soit à un ange ? Il ne profitait même pas de tout cela. Il était simplement reconnaissant à ses parents de bien s’occuper de lui, d’être présents.
Passé adolescent, John était toujours le même : travailleur, aimable, généreux, respectueux… Tous les adjectifs mélioratifs qui puissent exister auraient convenus pour le décrire. Il rentra dans un âge où les garçons s’intéressent aux filles. Il ne collectionnait pas les conquêtes, comme aurait pu penser la plupart des gens ; grâces à son physique, son intelligence ou encore sa bienveillance, il n’en fut rien. Pour John, les femmes étaient les piliers du monde dans lequel il vivait ; il n’y avait rien de plus véridique pour exprimer la grâce et la beauté. Toutes les jeunes filles, les femmes, étaient pour lui des déesses que le monde avait fait naître. Peut être avait-il cette opinion des femmes grâce à sa mère, qui avait toujours été là pour lui, qui l’avait porté et l’avait aidé à s’élever pas à pas. Puis un jour, le conte de fée se brisa…
John avait seize ans. La petite famille rentrait d’une soirée chez des amis. Lorsque Mr Woods avait garé la voiture devant le perron, quelque chose n’allait pas : celle-ci pendait sur ses gonds. Il avait demandé à sa femme et son fils de rester dans la voiture et de l’attendre, il voulait vérifier qu’il n’y avait pas de danger. Dans l’esprit de tout le monde, la pensé d’un cambriolage était présente. Mr Woods venait d’entrer dans la maison lorsqu’un coup de feu retentit. Affolée, sa femme quitta la voiture et s’engouffra en courant dans la bâtisse : un deuxième coup de feu retentit. A l’entente du premier coup de feu, John s’était allongé sur la banquette arrière, essayant de se cacher. Lorsqu’il avait entendu le deuxième coup, il s’était à son tour précipité dans la maison. Il avait stoppé net : à ses pieds, gisaient ses parents, dans une marre de sang. Les deux cambrioleurs lui faisaient face, un une arme pointée sur lui, l’autre à terre, en train de ramasser des bijoux. Celui qui le tenait en joue allait tirer lorsque l’autre s’interposa : deux morts étaient suffisants, en plus John n’était qu’un gosse. Ce fut les seuls mots qui furent prononcés. Les voleurs passèrent par la porte de derrière, laissant derrière eux un garçon dont la vie venait de basculer.
Depuis ce jour, John n’est plus le jeune homme que tout le monde connaissait. La mort de ses parents fut pour lui un terrible choc. Il s’imposa le mutisme, son visage n’ayant plus qu’une seule expression, c'est-à-dire un visage… totalement inexpressif ! Pendant trois mois, personne ne réussis à lui faire ouvrir la bouche, ni à engendrer la moindre réaction de sa part. John était vide, mort de l’intérieur. Puis un jour, il marchait dans la rue ; dans une ruelle, une jeune femme était coincée par un lourdaud obscène qui allait probablement la violer. Un sentiment de fureur totale envahit le jeune homme : il saisit une barre de fer se trouvant sur le sol et se dirigea en courant vers cet homme. Arrivé à sa hauteur, il frappa, de toute ses forces ; il frappa jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à lever le bras. Le John d’aujourd’hui venait de naître.
Il avait tué, pour la première fois, et la seule chose qu’il ressentait était le bien être, la liberté. Il avait tout d’abord trouvé cela effarant de ne pas avoir de remords, de se réjouir de cette mort ; puis il se résigna, se disant qu’il ne pourrait jamais souffrir plus qu’il n’avait déjà souffert. Cette expérience l’avait rendu plus fort. A chaque injustice qu’il croisait, à chaque méfait, il frappait, il tuait. Il en retirait un sentiment de vengeance sur la mort de ses parents. Les années passaient, et John se mit à tuer pour me plaisir. Des gens dont la tête ne lui revenait pas, des femmes qui ne respectait pas leur corps… Et puis un beau jour, un homme flanqué d’une grande cape vint à sa rencontre dans la rue. Il se présenta comme un dirigeant du « Conseil Infernal ». John n’avait jamais entendu parler de ce
Conseil. Cet homme lui apprit qu’il avait eut vent des exploits du jeune homme et qu’il voulait lui proposer une place au sein de sa société. John découvrit ce jour-là l’existence des vampires et des loups-garous.
Sa réaction ? Et bien il n’en à pas eut. Le détachement dont il faisait preuve impressionna l’homme à la cape. Mais il déchanta bien vite. John était ce qu’on peu poliment qualifié d’un vrai salaud. Il n’était plus l’enfant docile de sa jeunesse. C’était maintenant un homme, un guerrier, un tueur redoutable qui faisait passer son plaisir avant toute chose. Il n’obéissait plus à aucune règle, créant des émeutes par-ci des émeutes par-là. Il tuait sans scrupules, de plus en plus de monde, de plus en plus souvent. Le Conseil lui donnait des gens qu’il devait faire parler, qu’il devait torturer, qu’il devait tuer. C’était une aubaine pour John, il n’avait plus besoin de sortir pour rechercher ses victimes, elles lui étaient servies sur un plateau. Des gens ? Non, c’étaient des lycaons, des vampires ou quelque fois un mélange des deux. Qu’elle différence y avait-il avec les humains ? Il s’en fichait, il pouvait tuer à volonté, c’est tout ce qui comptait…
John est aujourd’hui respecté, haïs et craint de tous ; il est si imprévisible et si dangereux que personne ne le met jamais en rogne. Il est le
bourreau du Conseil…
VOUS :
Prénom (facultatif) : Hé, hé, hé, Maëlle ne vous lâche plus =P