Ilffran [vampire-Maître de l'esprit]

VOTRE PERSONNAGE :

Nom : je n'utilise que des noms d'emprunts

Prénom : anciennement Lupus (loup en latin). Illfran de nos jours.

Âge : 2500 ans environ.

Race : Vampire. Je suis nénamoins bien loin des ordinaires buveurs de sang. Je suis un chasseur d'esprits supérieurs.

Caractère : Je suis quelqu'un de solitaire. J'ai passé la majorité de monexistence mortelle seul. Vampire, j'ai erré sans jamais m'attacher à qui que ce fut. Pourtant il y a un siècle j'ai trouvé celle qui est à présent mon élève. Mew. Elle me sort de mon silence récurrent, souvent pour que je la rappelle à l'odre, ce chaton insolent ne sait pas se tenir. Je suis quelqu'un de fort calme, je ne m'énerve jamais, on pourrait ainsi me considérer comme quelqu'un de froid. D'indifférent.


Description physique : dès ma naissance, on voyait immédiatement que je n'étais pas comme les autres. Comme si la nature m'avait promis d'office à un destin hors du commun. J'ai de longs cheveux blancs aux reflets argentés, une peau parfaite, blanche et lisse sans le moindre défaut sauf peut être cette cicatrice sur le flanc droit, résultat d'un combat voué à l'échec contre celle qui me transforma. Contrairement à ceux de ma race qui boivent le sang des humains, je n'ai pas le regard d'un pourpre inquiétant. L'émeraude de mes yeux ne se ternit jamais, elle devient juste plus hypnotique lorsque mes sanglants appétits sont excités. Je suis grand, près d'1m87 et ma silhouette est athlétique. Serait ce me vanter que de dire qu'étant assez beau de mon vivant, je suis à présent d'une beauté quasi divine ?

Affinités avec d'autres Persos : seule Mew peut se vanter d'éveiller mon intérêt et un semblant de sentiments.



Prénom (facultatif) : c'est encore Kity ^_^

Âge : 19 ans et des poussières !

Comment avez vous connu le forum : par Bella ^_^

Combien de fois pensez vous venir dessus ? Peut être pas autant que pour Mew mais je ne vais certes pas délaisser mon cher vampire !

HISTOIRE D'ILFFRAN :

La chambre d'hôtel est plongée dans l'obscurité. La porte-fenêtre qui donne sur le balcon est ouverte et un vent léger fait flotter mes longs cheveux, rayons de lune. Toi, humain, tu es étendu sur un luxueux sofa pourpre. Tu n'as pas résisté au regard de ma protégée qui somnole dans un coin, les lèvres maculées de sang. Tu l'as suivie, imbécile, abusé par son apparente fragilité. Tu pensais pouvoir t'amuser ce soir, elle est tellement jolie c'est vrai. Mais quand tu es entré dans la chambre, elle s'est brusquement écartée, avant que tu ne puisse la presser contre toi. Et là tu m'as enfin vu.
Peut être sommes nous à Florence, Rome ou Mexico. Qu'importe. Tu es en mon pouvoir et tu me nourriras dès ce soir. Mais je ne résiste pas à l'envie de te raconter mon histoire. Après tout nous avons la nuit devant nous. Je m'approche de toi et caresse doucement ta joue, m'enivrant de ce parfum que tu dégages et qui te sera finalement fatal. Mes doigts effleurent ta gorge chaude et je commence mon récit.

Je suis né à Rome sous le règne de César Auguste, en -15 av. J-C. Auguste était empereur depuis plus de dix ans et la vie n'avait pas été aussi paisible et prospère depuis longtemps. Il avait unifié l'Empire, avait apporté la paix et bien que beaucoup espéraient le retour de la République les temps étaient calmes. Je ne vis que bien plus tard que ce règne plutôt long et paisible avait été exceptionnel : les villes de l'Empire ont ainsi connu quarante-cinq ans de paix. Rome était à cette époque le « centre du monde ». Prospérité et créativité.

Mais je suis né esclave. Mon nom était Lupus, loup en latin. Ironie quand tu nous tiens ! Aujourd'hui encore je ne peux m'empêcher d'en sourire en y repensant. Ma mère était esclave d'une noble famille de sénateurs. Mon père était mon maître. Il était courant à cette époque que ces choses là arrivent. Les esclaves se succédaient dans son lit, hommes (plutôt jeunes garçons) ou femmes. C'est ainsi que je suis né. A ma venue au monde, la première chose que l'on remarqua fut que j'étais en partie albinos. Déjà la vie me distinguait par cette apparence peu banale. Mes cheveux étaient blancs aux reflets argentés. Mais mes yeux étaient d'un bleu intense qui se mua en vert quelques mois plus tard. Tous les nouveaux-nés humains ont les yeux bleus. Mais peu gardent cet azur tout au long de leur courte vie. Plutôt que de me tuer mon maître décida de me garder en vie. J'étais robuste, il ordonna à ma mère de s'occuper de moi, faisant fi de ses superstitions stupides, il ne pensait pas qu'un enfant à l'apparence peu commune puisse porter malheur.

Mon enfance se déroula sans trop de heurts. Je ne quittais jamais la demeure de mon maître, restant à ses côtés car étrangement il m'aimait bien je pense. Il ne me semble pas néanmoins avoir ressenti pour lui ou qui que ce fut à l'époque la moindre affection. J'appris le grec et le latin assez rapidement et eu tôt fait de me délecter des écrits des grands penseurs et philosophes de l'époque, mais plus encore d'Ovide. Ah Ovide ! Jamais je ne me lasserais de ses poèmes. Cela était la seule chose capable de m'émouvoir à l'époque. À présent j'apprécie également quelques bons poèmes de Beaudelaire ou encore une Méditation de Lamartine. Mais passons.
J'écrivais et je lisais pour mon maître lorsque j'étais enfant. Adolescent, il m'apprit le maniement des armes,art dans lequel j'excellis étonnament et cela dès mes début. Ainsi mon destin fut tracé. Mon maître m'envoya dans une école de gladiateurs. Mais jamais je ne vis l'arène de la place de ceux qui allaient mourir. Je demeurais dans cette école et devint maître d'arme. J'avais une nette préférence pour le glaive mais regrettais que cette arme fut si lourde. Je rêvais d'une lame plus fine et surtout plus subtile.
Combien de combattant ai-je formés ? Je l'ignore. Je sais qu'ils sont morts, au combat pour la plupart, et on ne pouvait rêver meilleure fin pour des personnes comme nous, ayant voué nos existences au combat. Cette période de ma vie se déroula sur dix ans. Je ne fus ni heureux, ni malheureux. Ma vie était certes agréable. Je passais mes journée à me battre et à enseigner mon art, ce que j'aimais le plus au monde. La nuit venue je lisais ou écrivais, fort mal à mon humble avis, je n'avais hélas pas la plume (ou plutôt le roseau taillé) de mes contemporains.

Le combat était ma vie. J'étais fort et habile, nul ne pouvait tenir la comparaison avec moi. Et peu à peu je me rendis compte que cette criante supériorité sur mes adversaires n'était pas seulement dûe à cet entraînement intensif. Au coeur du combat je parvenais à « deviner » les intentions de mon partenaire. C'était une sorte d'instinct et comme je « sentais » ses mouvements avant qu'il ne les fasse, j'arrivais à l'amener à faire ce que je désirais. Était-ce un effet de mon charisme écrasant ? Sans me vanter, il est tout à fait vrai que je dégage quelque chose d'impressionnant. Ça l'était de mon vivant : je me souviens encore du silence qui régnait lorsque j'entrais dans une pièce. J'effrayais, impressionnais, attirais. C'est encore plus vrai aujourd'hui, depuis que je suis vampire.

J'avais trente ans lorsque je fus transformé. Vieux pour l'époque mais incroyablement robuste et agile, je mettais au tapis mes adversaires fussent-ils plus jeunes que moi. J'avais pris peu de rides et était beau d'après les femmes qui avaient la chance de m'apercevoir, sortant très peu de mon école. J'étais un vieux loup solitaire, Lupus, et les gens me craignaient bien que je ne leur fisse pas le moindre mal de mon vivant. Un soir je reçu la visite d'une riche femme d'officier qui siégeait au Sénat depuis peu disait-elle. Elle voulait voir comment je combattais afin de juger ou non si elle devait me confier l'un de ses esclaves, très prometteur selon elle. Celui qu'on me présenta était grand, incroyablement musclé et fort. Un vrai monstre de muscles. Et pourtant je défis ses attaques avec facilité. Je sentais le regard de cette femme sur moi, épiant chacun de mes mouvements. Je n'en fis aucun de superflu, agacé et mal à l'aise. Une étrange impression me saisit. Comme si l'on épiait mes pensées. Je retournais auprès de la dame. Dissimulée sous un épais manteau, je n'apercevais que sa bouche rosée et sa peau opaline. Elle m'informa de sa voix douce que je l'avais impressionnée. Son rire me glaça de l'intérieur. Elle était très satisfaite et m'enverrait son esclave dans quelques jours. Elle voulait néanmoins me tester une dernière fois. J'acquiesçais, avide de nouveaux combats. Renvoyant le monumental homme auquel j'avais fait face, elle me tendit un long paquet allongé. A l'intérieur, l'arme de mes rêves, ou du moins de mes premiers songes. Un sabre. Hypnotisé par la lame brillante, je ne la vis pas se débarrasser de son manteau. Lorsque je levais les yeux, je me figeais. Une femme magnifique me faisait face. Des yeux aussi rouges que les miens étaient verts. Un visage fin, un corps frêle aux formes pourtant voluptueuses à peines cachées par sa courte tunique d'homme. De longs cheveux blancs. Un sourire étincelant. Elle avait elle aussi un sabre à la main. Me faisant signe d'approcher, elle jeta son fourreau à terre et me demanda d'attaquer. J'obtempérais. Elle para chacune de mes attaques aisément. Je ne parvenais pas à deviner ses intentions. Cela m'agaçait profondément. Elle déclara soudain que c'était à son tour et m'attaqua. Je parais, difficilement je l'avoue. Chacune de ses attaques étaient d'une fulgurance inhumaine et d'une précision effrayante, néanmoins j'avais l'intuition qu'elle n'attaquait pas de toutes ses forces, comme pour me ménager. Un sourire. Et elle me blessa au flanc droit. Malgré ma douleur, je continuais à me battre, jusqu'à ce qu'elle colle sa lame contre ma gorge et ne m'ordonne d'arrêter. J'obéissais sans discuter et m'effondrais sur le sol, sans connaissance.

Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais dans mon lit, un bandage propre autour du ventre, un linge humide posé sur le front, cette femme à côté de moi. J'avais bien combattu disait-elle. Elle serait très heureuse de me prendre en tant qu'élève. Quelle ironie ! Évidemment j'acceptais. Une telle proposition était inespérée pour quelqu'un comme moi. Aux côtés de cette femme, j'apprendrais encore. Elle rit. On l'appelait Lydia à Rome mais son vrai nom était Shizuka. Elle venait d'un lointain lieu, loin très loin, au delà de l'Empire. Je le verrais peut être un jour mais pour l'instant je devais me reposer. Elle posa ses lèvres sur les miennes et avant que je ne pense à me maîtriser, j'étais déjà en elle, incapable de résister au désir qu'elle m'insufflait. La nuit fut longue, entrecoupée par nos étreintes brûlantes et glacées. Je devenais fou entre ses bras fins, retrouvant la même excitation qu'au combat, mais magnifiée. Lorsque enfin je retombais sur ma couche, épuisé, elle se blottit contre moi, souriant. J'allais souffrir disait elle, mais une fois passée la douleur, je serais comme elle. Je n'ai pas peur de la douleur, dis-je. Je voulais devenir son égal quitte à souffrir. Elle me sourit et planta ses dents dans ma chair. Je me tendis contre elle, serrant les dents. Il me semblait brûler de l'intérieur, des langues de feu parcouraient mon corps et je voulais hurler. Je n'en fis rien, gardant obstinément le silence, ne bougeant pas, la défiant du regard. Je souffrirais en silence. Et je le fis. Durant trois jours qui me semblèrent une éternité.

Puis, ma transformation achevée, je la suivis à Antioche, loin de Rome. J'étais un nouveau-né avide d'apprendre. Avide de celle qui m'avait fait. Ce n'était pas de l'amour. Mais un désir qui me consummait jour après jour. Je ne me rassasiais jamais de son corps parfait qui pliait sous mes assauts mais ne rompait jamais. Au final j'étais toujours vaincu par cette femme. Elle m'amenait toujours à faire ce qu'elle désirait. Pourtant je me repaissais de son enseignement avec ferveur. Pourquoi m'avait elle choisi ? Je le lui demandais une nuit tandis que j'honorais son corps des plus aimables attentions. Dans un éclat de rire cristallin elle me révélait que mon véritable entraînement allait commencer. C'était mon esprit qui l'avait attirée. Mon esprit qui poussait les gens à faire ce que je désirais. J'étais ce qu'elle appelait un « esprit supérieur ». Fasciné, je l'écoutais, avide de savoir. Elle en était un également. Sélectionnée par son créateur à cause de son fort psychisme, elle avait fait de même avec moi. Durant des siècles j'appris à ses côtés à lire dans les pensées des autres, les contrôler par un regard. Mais aussi contrôler mon corps par mon esprit. Ma force psychique devait être aussi, sinon plus puissante que ma puissante enveloppe corporelle.

J'y parvins au bout de mille ans. « L'esprit est une arme, le corps n'en est que le prolongement ». J'appliquais cette maxime à mon entraînenement qui fut payant. J'étais devenu plus fort que ma créatrice. Nous avions traversé maints âges ensemble, voyant les royaumes s'élever puis s'effondrer. Notre quête dépassait l'entendement des humains. Je voulais rechercher d'autres « esprits supérieurs ». Mais Shizuka n'était pas de cet avis. Elle désirait la compagnie d'autres vampires, bien inférieurs à nous. Mais elle refusait également que je continue seul ma route. Plusieurs fois pour me retenir elle tua sans que je le sache des humains qui auraient fait d'intéressants vampires. Je revenais donc sans cesse vers elle, dépité.

Puis je découvris le subterfuge.

Mes doigts se crispent sur l'accoudoir de mon fauteuil à cette évocation. Mew, ma protégée, ne t'accorde aucun regard humain misérable qui boit mes paroles. Elle s'installe sur mes genoux et m'embrasse avec ferveur, apaisant ma colère. Puis elle me présente son poignet avec un sourire mais je le repousse et glisse ma main sur sa cuisse nue. Non, je ne goûterais pas à son sang si délicieux ce soir. Le tien me contentera. Mes lèvres trouvent sa poitrine, la faisant soupirer d'aise. Nous ne sommes nullement gênés de nous donner en spectacle devant toi. Cet instant n'appartient qu'à nous. Je cesse mes baisers et la blottit contre moi, caressant son ventre à travers sa légère petite robe de lin blanche et continue mon histoire.

Je tuais Shizuka un soir, après l'une de nos étreinte. J'avais appris à lui dissimuler mes pensées sans qu'elle ne s'en rende compte. Je revois encore son visage empreint de surprise lorsque ma lame traversa son ventre blanc. Je baisais une dernière fois ses douces lèvres puis enfonçais ma main dans sa cage thoracique et en retirais son coeur palpitant que j'écrasais entre mes doigts vengeurs. Traînant son corps à travers la nuit, je le lançais dans un immense brasier, la regardant lentement disparaître. Je quittais notre demeure pour ne plus jamais y revenir.

Je traversais le reste des âges seul, indifférent aux progrès humains, toujours à la recherche d' « esprits supérieurs » que je transformerais en vampire. Mais rien. Aucun humain n'éveilla mon intérêt lors de cette longue errance. Je rencontrais parfois un de mes semblables mais préférais éviter toute confrontation, préférant rester dans ma solitude. Pourtant, il y a un siècle de cela, je trouvais enfin ce que je recherchais.

J'avais jeté mon dévolu sur une forêt profonde, fuyant l'agitation humaine. Je me nourrissais d'animaux bien que n'aimant guère cela. Un soir, je fus attiré par une délicieuse odeur jusqu'à une petite cascade qui coulait non loin de là. Et je la vis. Cette jeune fille allongée dans l'herbe, nue, regard fixé sur les étoiles. Son esprit était magnifiquement puissant, autant que le mien en une certaine mesure. Mais son psychisme était différent de tout ce que j'avais vu au cours de ma longue existence. Elle se releva vivement et s'approcha de moi comme hypnotisée. Je la saisis par le bras, posant mes lèvres contre sa gorge si tendre, mon autre main posée sur sa hanche. Elle avait une odeur enivrante. Je lui demandais si elle désirais la mort. Plutôt que de s'enfuir, elle me fixa avec un sourire émerveillé, lâchant un petit miaulement. Je l'observais, méfiant mais aussi fasciné. Ce qui s'accentua encore lorsque son corps devint brusquement celui d'un petit chaton à la fourrure aussi sombre que la nuit. Incroyable ! J'avais déjà rencontré des créatures étranges dans ma vie, lycans, télépathes, télékinésistes, mais jamais de femme-chat, en ayant juste entendu parlé une seule fois, une légende à laquelle je n'avais pas prêté attention. Et pourtant... le petit félin se frottait contre mes jambes en ronronnant. Je le saisi par la peau de cou et le glissais contre moi, entre mon manteau et ma peau glacée. Je l'appelais Mew et en fit mon élève. Elle me demanda mon nom une fois, bien qu'ayant pris l'habitude de m'appeler Maître. Je décidais de définitivement abandonner mon nom d'esclave et pris celui d'Ilffran. Mew se révéla douée au-delà de mes espérances et m'accompagna bientôt dans ma quête d'autres « esprits supérieurs », maîtrisant son psychisme si particulier avec une facilité déconcertante, chose que j'avais mis un millénaire à acquérir. Où que j'aille, elle me suivait, fidèle et pleine d'une ferveur adorable. Je ne me rendis compte que bien tard que ce chaton insolent et inconscient avait éveillé en moi une tendresse que je pensais absente, m'amusant de ses bêtises, apaisant mes froids accès de rage d'un simple baiser rempli d'une adoration sans borne.

Mon récit se termine là. Mew me sourit tendrement et je l'embrasse, glissant mes doigts fins sur les exquises rondeurs de sa poitrine avant de la laisser s'éloigner. Je m'approche de toi, humain, et te saisis violemment par la gorge. Mes dents déchirent ta chair. Tu sens la vie te quitter tandis que ton sang me réchauffe. Tu es mort. Ton corps inerte et déjà froid repose sur le sol en marbre et ma protégée revient se blottir contre moi. Je fais glisser sa robe le long de son corps si frêle et adorable et le presse contre le mien, à la peau dure et froide. Un éclat de rire cristallin traverse ses lèvres et je souris. Ma petite et si chère Mew. A moi à jamais.

Re bienvenue Kity, chouette ton maitre est là, on va bien s'amuser^^

Je suis en train de lire ta fiche, mais je te valides quand même. Je la finirais tout a heure. *Amuse toi bien!

Wahouhou, bienvenue ma femme =)

mfufufufu ! merchi ^_^ !!!!